Le monde scientifique sous le choc après la découverte d'une nouvelle baleine à Tadoussac
Les voyageurs qui comptent se rendre à Tadoussac cette année pourront être les premiers à observer une nouvelle espèce de baleine tout à fait exceptionnelle.
Les scientifiques du Centre de Recherche sur les Baleines ont en effet découvert cette baleine incroyable la semaine dernière au large de la Côte-Nord, aux confluents du fleuve Saint-Laurent et de la rivière Magpie, une rivière à saumon.
Compte-rendu sur la découverte la plus déterminante du XXIème siècle dans le monde animal... et certainement la plus improbable.
La baleine saumonée
C’est le commandant Cousteau qui doit se retourner dans sa tombe aujourd’hui.
Quand les scientifiques ont observé pour la première fois la baleine saumonée, ils ont d’abord cru avoir affaire à un nouveau monstre du Loch Ness tellement le mammifère marin était à mille lieues de toutes les autres baleines qu’ils avaient observées jusqu’à présent.
Mais en y regardant de plus près, certains d’entre eux ont rapidement vu une ressemblance frappante avec le saumon.
Cette hypothèse impossible fût rapidement rejetée et on comprend vite pourquoi. Après tout, comment un saumon pourrait-il s’accoupler avec une baleine ?
Des analyses plus poussées ont toutefois confirmé l’impensable. Il s’agit bel et bien d’un croisement entre le saumon de l’Atlantique et la baleine à bosse.
Comment est-ce possible ?
Les scientifiques du CRB ont immédiatement cherché à savoir comment un saumon d’une moyenne de 60 centimètres a-t-il pu copuler avec une baleine de 15 mètres.
La réponse est étonnante.
Cette année, un embâcle majeur s’est formé aux confluents de la rivière Magpie et du fleuve St-Laurent, empêchant ainsi des milliers de saumons de remonter leur rivière natale pour frayer.
Paraît-il que l’instinct du saumon pour la reproduction est l’un des plus fort de toutes les espèces animales de la planète.
Dans ce cas-ci, un obstacle infranchissable a empêché le saumon de mener à terme son ultime projet.
Les scientifiques nous expliquent que lorsque le saumon est dans une telle impasse, il est possible qu’il tente de s’accoupler avec d’autres espèces.
Dans ce cas-ci, l'autre espèce disponible était la baleine à bosse que l’on trouve d'ailleurs en grand nombre dans cette région.
On dit souvent que les chiens ne font pas des chats. C’est bien vrai. Encore faut-il qu’ils ne se reproduisent pas avec le monde félin.
Les chefs restaurateurs du Québec se réjouissent de cette nouvelle. Ils se sont exprimés à ce sujet dans le cadre de la table de concertation régionale sur la pénurie de saumon dans le secteur de la Côte-Nord. On viendrait peut-être enfin de trouver la solution à leur problème.
Pour plus d’informations sur cette découverte pour le moins inusitée, consultez le site Wikipédia.
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